"Let it snow, let it snow, let it snow"
Tous les ans c’est pareil.
Au début, le retour de l’hiver vous rend hyper bucolico-romantico-nostalgico-mélancolico-inspirée.
(Ouais, tout ça.)
Vous vous enthousiasmez, vous achetez des petites robettes et des pulls en maille, des bonnets mignons, des cache-oreilles, du café de Noël chez Starbucks, vous écoutez des chants de Noël, vous vous sentez complètement cosy-trendy, en phase avec vous-même, en phase avec le monde, en phase avec la vie, youpi youpi.
Et puis un jour, en vous réveillant, la surprise : les toits sont blancs, les trottoirs immaculés, le ciel d’un bleu glacial. Ca y est, vous l’avez votre hiver bucolico-romantico-nostalgico-mélancolico-cosy-trendy-inspiré.
Vous êtes bien contente.
Et là, c'est le drame.
(Suspense.)
(Hi hi.)
Je sais, mon talent pour susciter chez vous une insoutenable attente frôle la perfection hitchcockienne.
Je sais, tout ça vous torture au moins autant que de devoir attendre 54 minutes avant de voir les 30 dernières secondes de votre épisode de "Gossip Girl" sur Allostreaming.
Mais ne vous pendez pas mes chers lecteurs...
La suite, c'est dans Flavor Magazine!
(Et pour ceux qui ont loupé ma première chronique sur Flavor, "Bad girl gone good", c'est par ici!)